FIORETTI DU FRÈRE ESTEPHAN, 2010, n.3
|
Note du traducteur
Encore écolière chez les Religieuses des Saints-Cœurs à Hadath puis collégienne à Achrafieh- Sioufi, nous avions pris l’habitude d’écrire sur nos cahiers de classe, en haut de page ‘ JESUS MARIE JOSEPH ‘’ et plus tard ‘Dieu me voit’ avant de signaler la date ; la présentation des noms à l’époque se faisant une fois pour toutes sur la première page de couverture.
Dans la petite niche de droite juste à l’entrée de l’alcôve de Saint Charbel à Annaya, un sourire discret mais si profond m’accueille ; une cellule obscurcie par des murs noircis, enfermés et inviolables par le passage du temps. De faibles lueurs solaires ombrageaient le dallage pierreux, grisâtre et fissuré de petites perforations à même le parterre béni et combien finement piétiné… C’était au début des années 80, j’avais pris le pli d’effectuer des visites au Couvent Saint Maron pour rencontrer en mes prières le visage du bienheureux Charbel Makhlouf et pour lire les ouvrages de Saint Jean de La Croix et de Sainte Thérèse d’Avila ; et voilà qu’une nouvelle figure prénommée ‘Joseph’ s’offre à mes yeux, encore ténébreux de l’ombrage serein des saintetés.
Un frisson me parcourt, il me regarde, Estéphan, - du nom du premier martyr (Etienne) - Nehmé me dévisage ; j’esquive un regard furtif et me replonge dans une prière discontinue et entrecoupée.
Depuis, son regard s’incruste en ma tête et en mon cœur ; il m’accompagne partout où je me trouve, partout où je m’en vais. Je porte sa photo dans mon portefeuille, dans mon calepin, sur mon bureau, sur les murailles centenaires de mon logis de montagne.
Il y a deux ans, j’ai eu la chance de visiter Lehfed grâce à des amis, - originaires de Joun, région du Couvent Deïr El Mkhallès et du Révérend Béchara Abou Mrad, bientôt Bienheureux -, son village de naissance et de m’acheminer à pied en cette belle région de montagne, guidée par un collègue de travail, un professeur de mathématiques, habitant les lieux, amoureux de la nature, des gazouillis et des sources musicales de Lehfed, dans les hauteurs de Jbeïl - transporté un mois plus tard dans les hauteurs célestes, suite à un cancer galopant.
Je ne peux oublier son bonheur sans mesure quand nous avons calmement contourné le village en pleine chaleur solaire pendant deux bonnes heures, revoyant la maison du Bienheureux homme de Dieu, l’Église où il a été baptisé, ‘Nabehº El Ghrayr’ (la source du Blaireau) qu’il a découverte en 1903 en poursuivant ce mammifère plantigrade forestier ressemblant à un lièvre poilu, ainsi que les ruelles, les sentes, les allées bordées d’arbrisseaux, son chêne d’oraison…; mon compagnon de route si fier de partager le village d’origine du Frère Estéphan Nehmé. Mon compagnon de pèlerinage, serein et point bavard, ne disait que des mots de choix, quelques traits de son enfance, … pour indiquer, pour préciser, motivant une promenade tranquille en mémoire de Nehmé. Discret et silencieux à l’image d’Estéphan, disparu de chez nous, comme lui, à moins de cinquante ans.
De nouveau et grâce au Révérend Père Antoine Doueïhy, j’ébauche les premiers ancrages de traduction de son 6ème Fioretti, ouvrage paru aujourd’hui - dimanche 27 juin 2010, le jour de la béatification du frère Estéphan Nehmé au couvent des Saints Cyprien et Justine de kfifan, à dix heures matinales.
Après Bouna Yaacoub, le capucin de Ghazir et Père Estéphan Doueïhy, le Patriarche d’Ehden, j’accompagne en sainte écriture Frère Estéphan Nehmé de Lehfed.
Reconnaissances au Père Antoine.
Remerciements au Bienheureux Philosophe de la Simplicité, de l’Humilité, de la Transparence et du Dénuement.
«Gloire à Dieu, au plus haut des Cieux et Paix sur la Terre…».
Depuis qu’Estéphan m’est conté…
Depuis qu’Estéphan m’est conté,
Lu, relu, sur pages en papier,
Me retrouve dans l’immensité des solitudes.
Quêtant le Très-Haut dans le silence des quiétudes.
Ta solitude Estéphan, de Lehfed lumière,
Youssef comme Joseph, baptisée à la terre,
Aux champs, à la fraîche rosée,
À la philosophie de la simplicité.
Ta soif Estéphan, à Kfifan ressourcée,
Sanctifiée, psalmodiée, étanchée,
Redistribuée en graines de chapelet
À tes frères de noviciat, en prières.
Ton regard Estéphan, histoire d’une chrétienté
Consolidant notre foi à jamais incrustée
Dans tes yeux, si profonds en générosité
Ayant « vu », contemplé l’éternelle Beauté,
Nous menant jusqu’à l’Unique Vérité
Tracée dans les pages du grand Livre de la Sainteté
Dimanche 27 juin 2010
Mona Nader
Introduction
‘Après avoir allumé une lampe, personne ne la recouvre d’un vase ou ne la met sous un lit ; on la met au contraire sur un lampadaire, pour que ceux qui pénètrent voient la lumière.’ (Lc.8, 16)
Propos appropriés face à toute beauté s’enfermant en ce monde pour s’illuminer dans le Christ. Le parfum de toute sainteté brille, éclaire et se répand, évidemment, dans le monde entier.
Marie, Vierge Sainte, Servante du Seigneur, Dieu l’illustre et la revalorise jusqu'à devenir la Mère du Fils Unique Jésus et de l’Humanité entière.
Voulant secrètement abandonner sa fiancée, crue indigne du Plan Divin de la Rédemption, le Seigneur apparaît en rêve à Joseph et modifie sa décision ; réveillé, il agit suivant les recommandations de l’Ange de Dieu.
Retiré sur une collinette des hauteurs de Cyrus (ou Kouroch, contrée du Saint) Maron (ou Maroun, fondateur de la Communauté Maronite) est secondé par ses condisciples, vertueusement dispersés comme graminées dans l’Église Orientale.
Humilié comme le plus dénué des mendiants, François d’Assise est réputé dans tous les recoins du monde comme le grand imitateur du Maître Divin. Charbel vit en reclus dans son ermitage, ses fidèles le visitant de tous lieux à sa mort, l’implorant, l’imitant et quémandant ses bénédictions. Retirée dans son cloître, Rafqa expire saintement, son sépulcre inondé de lumières attirant des milliers de croyants de tous bords et réclamant des reliquats.
Aujourd’hui, là où s’expose la dépouille toujours vivante du Frère Estéphan, combien d’innombrables visiteurs partagent la joie de sa sanctification.
. . .
Les Fioretti du Frère Estéphan - Dieu me voit, ouvrage récent de la série Florilège, encouragé par le clergé et les fidèles où le prêtre ressource sa soif de Dieu, les religieux et religieuses renouvellent leurs vœux et les croyants trouvent le chemin de retour aux sources.
Une fois le prélude de mon ouvrage rédigé des mains d’un prêtre ami , poète inspiré m’ayant inculqué, il y a longtemps, les bases d’une formation scolaire, et quand devenu aujourd’hui curé de paroisse de son village natal, je lui suis bien reconnaissant d’avoir tracé cette présentation ; je retisse le récit de vie du nouveau Bienheureux, avant d’offrir les fleurettes de ce Frère de la Prière, artisan béni vivant sous le regard de Dieu :
’DIEU ME VOIT’ ne cesse-t-il de réitérer, à travers une perspective biblique des deux Testaments. Et quand il m’a été demandé, par une chaîne télévisée chrétienne locale, de reconstituer des scènes dramatiques de la vie de ce Bienheureux, je me vois insérer quelques scènes spontanées en mon ouvrage. J’y introduis même un article de mon éminent maître, Père Boulos (Paul) Féghaly, laissant la page finale à un compagnon de route, mon ami le professeur Imad Féghaly.
Chers lecteurs, puisant mes récits fleuris de maints livres portant sur la spiritualité de Nehmé rejoignant les écrits de l’archevêque Youssef (Joseph) Mahfouz, ceux des Pères Boulous Sfeïr et Elie Azzi, la Revue ‘Awrak Rouhbaniyah’ (Feuillets Religieux), ainsi que les témoignages véridiques de deux ecclésiastiques, je vous présente mon sixième Fioretti, ou plutôt mon troisième Fioretti traduit, en des moments cruciaux de retour aux signes et miracles divins.
Notre société en terre sacrée qu’est le Liban - selon les dires du Bien Cher Pape Jean Paul II- s’éveille de plus en plus aux faits miraculeux, quêtant icônes et rosaires pour de meilleures conversions par l’intermédiaire de plusieurs saints séduisants et sanctificateurs.
Cette Collection de Fleurettes à la Saint François, tire son dynamisme et sa profondeur de la doctrine évangélique, pour rafraîchir la spiritualité, nourrir l’affectivité et la foi de nos chers lecteurs assoiffés de valeurs et de bonheurs.
Puissions-nous cueillir la Bénédiction de Dieu, refuge de notre conduite, par l’intercession du Frère Estéphan ; qu’il nous garde sous sa protection, nous abritant en nos épreuves, nous éloignant du mal et du Malin.
Que ce Nouveau Saint libanais sanctifie nos pas et nous rapproche de Toi, Ô L’Unique, le Maître, le Vrai, La Vie.
A Toi, tout honneur et toute gloire pour l’Éternité.
Ghbélé, le 4 du mois de juin 2010
Jour-Souvenir de mon ordination sacerdotale
Père Antoine Doueïhy
Encore écolière chez les Religieuses des Saints-Cœurs à Hadath puis collégienne à Achrafieh- Sioufi, nous avions pris l’habitude d’écrire sur nos cahiers de classe, en haut de page ‘ JESUS MARIE JOSEPH ‘’ et plus tard ‘Dieu me voit’ avant de signaler la date ; la présentation des noms à l’époque se faisant une fois pour toutes sur la première page de couverture.
Dans la petite niche de droite juste à l’entrée de l’alcôve de Saint Charbel à Annaya, un sourire discret mais si profond m’accueille ; une cellule obscurcie par des murs noircis, enfermés et inviolables par le passage du temps. De faibles lueurs solaires ombrageaient le dallage pierreux, grisâtre et fissuré de petites perforations à même le parterre béni et combien finement piétiné… C’était au début des années 80, j’avais pris le pli d’effectuer des visites au Couvent Saint Maron pour rencontrer en mes prières le visage du bienheureux Charbel Makhlouf et pour lire les ouvrages de Saint Jean de La Croix et de Sainte Thérèse d’Avila ; et voilà qu’une nouvelle figure prénommée ‘Joseph’ s’offre à mes yeux, encore ténébreux de l’ombrage serein des saintetés.
Un frisson me parcourt, il me regarde, Estéphan, - du nom du premier martyr (Etienne) - Nehmé me dévisage ; j’esquive un regard furtif et me replonge dans une prière discontinue et entrecoupée.
Depuis, son regard s’incruste en ma tête et en mon cœur ; il m’accompagne partout où je me trouve, partout où je m’en vais. Je porte sa photo dans mon portefeuille, dans mon calepin, sur mon bureau, sur les murailles centenaires de mon logis de montagne.
Il y a deux ans, j’ai eu la chance de visiter Lehfed grâce à des amis, - originaires de Joun, région du Couvent Deïr El Mkhallès et du Révérend Béchara Abou Mrad, bientôt Bienheureux -, son village de naissance et de m’acheminer à pied en cette belle région de montagne, guidée par un collègue de travail, un professeur de mathématiques, habitant les lieux, amoureux de la nature, des gazouillis et des sources musicales de Lehfed, dans les hauteurs de Jbeïl - transporté un mois plus tard dans les hauteurs célestes, suite à un cancer galopant.
Je ne peux oublier son bonheur sans mesure quand nous avons calmement contourné le village en pleine chaleur solaire pendant deux bonnes heures, revoyant la maison du Bienheureux homme de Dieu, l’Église où il a été baptisé, ‘Nabehº El Ghrayr’ (la source du Blaireau) qu’il a découverte en 1903 en poursuivant ce mammifère plantigrade forestier ressemblant à un lièvre poilu, ainsi que les ruelles, les sentes, les allées bordées d’arbrisseaux, son chêne d’oraison…; mon compagnon de route si fier de partager le village d’origine du Frère Estéphan Nehmé. Mon compagnon de pèlerinage, serein et point bavard, ne disait que des mots de choix, quelques traits de son enfance, … pour indiquer, pour préciser, motivant une promenade tranquille en mémoire de Nehmé. Discret et silencieux à l’image d’Estéphan, disparu de chez nous, comme lui, à moins de cinquante ans.
De nouveau et grâce au Révérend Père Antoine Doueïhy, j’ébauche les premiers ancrages de traduction de son 6ème Fioretti, ouvrage paru aujourd’hui - dimanche 27 juin 2010, le jour de la béatification du frère Estéphan Nehmé au couvent des Saints Cyprien et Justine de kfifan, à dix heures matinales.
Après Bouna Yaacoub, le capucin de Ghazir et Père Estéphan Doueïhy, le Patriarche d’Ehden, j’accompagne en sainte écriture Frère Estéphan Nehmé de Lehfed.
Reconnaissances au Père Antoine.
Remerciements au Bienheureux Philosophe de la Simplicité, de l’Humilité, de la Transparence et du Dénuement.
«Gloire à Dieu, au plus haut des Cieux et Paix sur la Terre…».
Depuis qu’Estéphan m’est conté…
Depuis qu’Estéphan m’est conté,
Lu, relu, sur pages en papier,
Me retrouve dans l’immensité des solitudes.
Quêtant le Très-Haut dans le silence des quiétudes.
Ta solitude Estéphan, de Lehfed lumière,
Youssef comme Joseph, baptisée à la terre,
Aux champs, à la fraîche rosée,
À la philosophie de la simplicité.
Ta soif Estéphan, à Kfifan ressourcée,
Sanctifiée, psalmodiée, étanchée,
Redistribuée en graines de chapelet
À tes frères de noviciat, en prières.
Ton regard Estéphan, histoire d’une chrétienté
Consolidant notre foi à jamais incrustée
Dans tes yeux, si profonds en générosité
Ayant « vu », contemplé l’éternelle Beauté,
Nous menant jusqu’à l’Unique Vérité
Tracée dans les pages du grand Livre de la Sainteté
Dimanche 27 juin 2010
Mona Nader
Introduction
‘Après avoir allumé une lampe, personne ne la recouvre d’un vase ou ne la met sous un lit ; on la met au contraire sur un lampadaire, pour que ceux qui pénètrent voient la lumière.’ (Lc.8, 16)
Propos appropriés face à toute beauté s’enfermant en ce monde pour s’illuminer dans le Christ. Le parfum de toute sainteté brille, éclaire et se répand, évidemment, dans le monde entier.
Marie, Vierge Sainte, Servante du Seigneur, Dieu l’illustre et la revalorise jusqu'à devenir la Mère du Fils Unique Jésus et de l’Humanité entière.
Voulant secrètement abandonner sa fiancée, crue indigne du Plan Divin de la Rédemption, le Seigneur apparaît en rêve à Joseph et modifie sa décision ; réveillé, il agit suivant les recommandations de l’Ange de Dieu.
Retiré sur une collinette des hauteurs de Cyrus (ou Kouroch, contrée du Saint) Maron (ou Maroun, fondateur de la Communauté Maronite) est secondé par ses condisciples, vertueusement dispersés comme graminées dans l’Église Orientale.
Humilié comme le plus dénué des mendiants, François d’Assise est réputé dans tous les recoins du monde comme le grand imitateur du Maître Divin. Charbel vit en reclus dans son ermitage, ses fidèles le visitant de tous lieux à sa mort, l’implorant, l’imitant et quémandant ses bénédictions. Retirée dans son cloître, Rafqa expire saintement, son sépulcre inondé de lumières attirant des milliers de croyants de tous bords et réclamant des reliquats.
Aujourd’hui, là où s’expose la dépouille toujours vivante du Frère Estéphan, combien d’innombrables visiteurs partagent la joie de sa sanctification.
. . .
Les Fioretti du Frère Estéphan - Dieu me voit, ouvrage récent de la série Florilège, encouragé par le clergé et les fidèles où le prêtre ressource sa soif de Dieu, les religieux et religieuses renouvellent leurs vœux et les croyants trouvent le chemin de retour aux sources.
Une fois le prélude de mon ouvrage rédigé des mains d’un prêtre ami , poète inspiré m’ayant inculqué, il y a longtemps, les bases d’une formation scolaire, et quand devenu aujourd’hui curé de paroisse de son village natal, je lui suis bien reconnaissant d’avoir tracé cette présentation ; je retisse le récit de vie du nouveau Bienheureux, avant d’offrir les fleurettes de ce Frère de la Prière, artisan béni vivant sous le regard de Dieu :
’DIEU ME VOIT’ ne cesse-t-il de réitérer, à travers une perspective biblique des deux Testaments. Et quand il m’a été demandé, par une chaîne télévisée chrétienne locale, de reconstituer des scènes dramatiques de la vie de ce Bienheureux, je me vois insérer quelques scènes spontanées en mon ouvrage. J’y introduis même un article de mon éminent maître, Père Boulos (Paul) Féghaly, laissant la page finale à un compagnon de route, mon ami le professeur Imad Féghaly.
Chers lecteurs, puisant mes récits fleuris de maints livres portant sur la spiritualité de Nehmé rejoignant les écrits de l’archevêque Youssef (Joseph) Mahfouz, ceux des Pères Boulous Sfeïr et Elie Azzi, la Revue ‘Awrak Rouhbaniyah’ (Feuillets Religieux), ainsi que les témoignages véridiques de deux ecclésiastiques, je vous présente mon sixième Fioretti, ou plutôt mon troisième Fioretti traduit, en des moments cruciaux de retour aux signes et miracles divins.
Notre société en terre sacrée qu’est le Liban - selon les dires du Bien Cher Pape Jean Paul II- s’éveille de plus en plus aux faits miraculeux, quêtant icônes et rosaires pour de meilleures conversions par l’intermédiaire de plusieurs saints séduisants et sanctificateurs.
Cette Collection de Fleurettes à la Saint François, tire son dynamisme et sa profondeur de la doctrine évangélique, pour rafraîchir la spiritualité, nourrir l’affectivité et la foi de nos chers lecteurs assoiffés de valeurs et de bonheurs.
Puissions-nous cueillir la Bénédiction de Dieu, refuge de notre conduite, par l’intercession du Frère Estéphan ; qu’il nous garde sous sa protection, nous abritant en nos épreuves, nous éloignant du mal et du Malin.
Que ce Nouveau Saint libanais sanctifie nos pas et nous rapproche de Toi, Ô L’Unique, le Maître, le Vrai, La Vie.
A Toi, tout honneur et toute gloire pour l’Éternité.
Ghbélé, le 4 du mois de juin 2010
Jour-Souvenir de mon ordination sacerdotale
Père Antoine Doueïhy